CRJ – compte-rendu de la session 12
23 janvier 2024
9h30-10h30 : Plénière
Mot de la co-présidente du CRJ
Adèle exprime ses vœux pour cette nouvelle année 2024. Elle excuse l’absence de Louis et transmet ses vœux ainsi que ceux de Gaby Cadiou. Dans son courrier, Gaby Cadiou annonce que le site du CRJ est opérationnel; il reste encore des informations à intégrer. Elle félicite également Enzo et Ilana pour leur nouveau rôle de représentants à l’ANACEJ.
Adèle présente le déroulé la session et propose aux co-responsables de se retrouver à 14h pour échanger sur les projets des commissions.
Elle rappelle que Bianca (culture), Sterenn (égalités), Louis et Adèle sont allés représenter le CRJ à Strasbourg le week-end précédent au réseau des régions de l’ANACEJ.
Intervention de Jérôme Tré Hardy, délégué régional au numérique
L’élu vient partager l’ambition de la Région Bretagne en matière de numérique.
Jérôme Tré Hardy est conseiller régional délégué au numérique, à la cybersécurité et à la donnée. C’est son premier mandat. Il est par ailleurs entrepreneur dans le domaine du numérique.
« La conviction est partagée sur le fait que le numérique constitue un changement de paradigme profond par l’avènement de l’usage qui fait la valeur. Le pouvoir est aux mains de toutes les grandes plateformes portées par les GAFAM. Le numérique vient percuter la façon de faire de la politique. Ce n’est pas seulement un sujet technique. Il faut voir l’impact en termes démocratique et politique. Le numérique est un vecteur (moyen d’atteindre des objectifs et non une fin en soi). Le numérique porte une potentialité importante pour le bien et pour le mal, c’est-à-dire qu’il y a une capacité à mettre en œuvre des projets de grande envergure mais il présente également des risques.
La Région est en train de reposer sa stratégie autour de 5 piliers :
- L’inclusion numérique: le président de Région a une volonté de déployer la fibre sur l’ensemble du territoire breton d’ici à 2026. Au-delà de ce déploiement, la Région doit prendre ses responsabilités dans l’usage qu’il implique. Une part de la population est exclue de la digitalisation (n’ont pas les usages ni les mécanismes). Cela ne concerne pas seulement les personnes âgées. L’exclusion numérique touche toute une frange de la société. Des jeunes sont concernés. On peut savoir utiliser les réseaux mais pas remplir un formulaire en ligne. Une part de la société rejette le numérique et ne veut plus de la digitalisation à marche forcée. Cela questionne également au niveau politique. L’échelon régional n’est pas forcément le plus compétent pour travailler ces questions, et la Région s’allie avec les associations.
- Le numérique responsable: il s’agit de prendre l’angle de l’empreinte écologique. Les données numériques, ce sont des data centers qui contribuent au réchauffement climatique. Les terminaux se développent de manière exponentielle (2022 : 35 milliards de terminaux dans le monde/ 2025-2026 : 65 milliards prévus) et leur construction mobilise des terres rares. Il faut se questionner sur la nécessité de changer régulièrement son matériel, sur le recyclage.
Au niveau régional, la durée de vie des ordinateurs a été étendue. Il faut également travailler pour réduire le parc informatique.
- Le numérique comme soutien à l’économie: cela dépend surtout de la Vice-Présidente à l’économie. La digitalisation permet aux entreprises de gagner en efficacité. Il s’agit de les soutenir dans leur digitalisation. Il faut toutefois prendre en compte l’importance de l’économie traditionnelle.
- La souveraineté: il s’agit de la liberté de choix. Le numérique doit être un outil d’émancipation et pas d’enfermement dans des boucles d’usage. Derrière cet axe de liberté de choix, il y a deux grands pôles d’action :
– la cybersécurité (faire gagner en compréhension, travail autour de 3 grands axes : former/fédérer/faire savoir, sur le risque cyber).
– L’usage de la donnée : objectiver les politiques avec de la donnée et suivre le déploiement de cette politique et rendre compte aux citoyen.ne.s
- Numérique comme moyen de lisibilité de l’action publique : redonner aux gens les informations sur l’action publique et l’envie d’aller voter ».
Jérôme Tré Hardy souhaite développer la coopération avec le rectorat. L’intelligence artificielle est un sujet qui vient nous percuter. La technologie est là et l’éducation devient un enjeu fort. Il faut apprendre à utiliser les technologies en formant intelligemment, il ne s’agit pas d’interdire les usages. L’autre sujet est le cyberharcèlement. Le Conseil régional a peu de capacité d’action sur ces sujets, l’éducation ne peut pas se faire sans l’Education nationale, mais peut avoir une parole politique sur l’importance du libre arbitre.
Jérôme Tré Hardy porte la décision concernant la fin de l’usage de Tik-Tok au sein de la Région. Il y a un enjeu fort sur comment toucher la jeunesse. La réponse facile peut être de passer par Tik-Tok. L’élu ne souhaite pas vivre dans le modèle de société développé en Chine avec un passeport social (un système de points en fonction de nos comportements individuels). Tik-Tok est une plateforme chinoise et donc à la main d’un modèle de société spécifique. Deuxième point : c’est antinomique de prôner la vigilance dans l’usage des réseaux par les jeunes et les mobiliser pour communiquer avec eux via ce type de plateforme. De plus, ce serait triste de se dire que le seul moyen de parler aux jeunes se passe via Tik-Tok. Il y a d’autres moyens d’échanger avec la jeunesse que de passer par TiKTOK.
Remarques et questions
Tik-Tok n’est pas le seul moyen de parler aux jeunes mais c’est le plus facile car tout le monde est dessus.
Réponse : Vous avez raison, ce n’est pas le seul, mais la facilité n’est pas toujours le meilleur chemin. On fait des choix par facilité mais avec quelles conséquences ? c’est la prise de conscience à avoir.
Avez-vous des pistes de solution sur la question de l’intelligence artificielle ?
Réponse : Je suis d’une grande humilité concernant notre capacité d’action au niveau du Conseil régional. On peut travailler sur quelles convictions on a par rapport à l’IA. On peut également travailler sur un cadre de l’IA avec une charte des usages. Il y a donc un rôle d’éducation. Ce sont des sujets qui se jouent au niveau national. Modestement, au niveau régional, le rôle peut être de faire prendre conscience sur la nécessité de revoir notre utilisation des nouvelles technologies. Nous tous individuellement avons un impact sur le numérique. La puissance publique est là pour poser un cadre, une réflexion pour susciter l’échange et le dialogue.
La commission culture mène un projet d’application culturelle pour les jeunes qui permettrait de consommer la culture comme bon leur semble. Des difficultés sont rencontrées sur la gestion des données, le financement… Seriez-vous intéressé pour travailler avec nous sur ce sujet ?
Réponse : C’est très intéressant, cela permet de donner une visibilité claire des actions culturelles dans le territoire. Actuellement, on a tout un travail sur la donnée. Ça ne m’étonne pas que vous ayez du mal à avoir accès à la donnée. Dans le numérique, il y a beaucoup d’effet de mode, de mots compliqués, de fantasmes derrière des choses qui sont parfois très simples. Tout l’enjeu est de rendre intelligible les choses. La donnée est extrêmement simple, on a de l’information, il faut la rendre lisible pour pouvoir l’utiliser. On a besoin dans une stratégie de la donnée de partir de cas concrets et vous en exposer un. Je serai ravi de participer à vos travaux.
Il y a beaucoup de débat sur la santé mentale liée à la pornographie. Comment protéger les jeunes ?
Réponse : C’est un sujet qui me touche beaucoup. Je ne suis pas certain qu’on ait créé le cadre pour protéger nos enfants. Il est marquant de voir que plus les parents sont investis dans le numérique, plus ils protègent leurs enfants du numérique. La puissance publique a un rôle de faire prendre conscience de cette exposition au numérique et d’alimenter le débat public. Il y a un rôle individuel des parents, des frères et sœurs, de protéger. On vit un moment difficile mais enthousiasmant de bascule de société qui réinterroge l’individu dans sa capacité à faire ses choix. On ne peut pas faire à la place de.
Que pouvez-vous faire concernant l’empreinte écologique du numérique de plus en plus importante ?
Réponse : En étant provocateur, l’écologie parfaite c’est la disparition de l’homme et de la technologie. Grâce à la donnée, on brûle moins de pétrole, de gaz… La technologie nous permet de réduire l’empreinte écologique en donnant accès à de nouvelles connaissances. Le problème central, ce sont les terminaux. Les technologies marketing invitent à toujours changer de matériel. Diminuer le nombre de terminaux et protéger les terres rares auraient déjà un impact très fort. Je diffuse le message de faire attention à nos pratiques individuelles concernant les terminaux.
Il est possible de contacter Jérôme Tré Hardy s’il y a des questions complémentaires en envoyant un mail à l’adresse du CRJ.
Diffusion d’un questionnaire individuel sur le fonctionnement du CRJ
Carolyne est apprentie sur la démocratie participative à la Région. Dans le cadre de sa mission, elle transmet un questionnaire par sms afin que les élus du CRJ puissent le remplir dans la journée. Ce questionnaire est important car il vise à retravailler le fonctionnement du CRJ pour le futur mandat.
10h30-12h : Commissions
Santé
16 élu.e.s de la commission étaient présents.
Après une introduction, au cours de laquelle nous avons exposé les objectifs de la journée avec les co-responsables, le groupe vidéo, bien que composé uniquement de deux élues présentes, a validé les formats de la vidéo 1 et finalisé son écriture en collaboration avec le réalisateur.
Le groupe Numérique a échangé avec Gabriel du Centre national du numérique et Gregory Lanevere, du pôle éducation à la citoyenneté numérique du rectorat, sur l’idée de création de podcasts pour partager et diffuser leur démarche d’animation de débats. Ensuite, ils ont préparé les missions pour l’après-midi.
Le groupe bien-être a travaillé à recueillir et analyser les données recueillies lors des entretiens et micro-trottoir réalisés sur le dispositif de la semaine des projets.
Le groupe plaidoyer a travaillé sur la mise en forme du plaidoyer et la stratégie d’interpellation des parlementaires.
Egalité
17 élu.e.s présent.e.s
Sterenn et Enzo ont introduit la séance. Sterenn est revenue sur le déplacement à Strasbourg dans le cadre de l’ANACEJ. Plusieurs CRJ étaient représentés (Occitanie, Grand Est, Normandie, etc.) Dans ce cadre, les jeunes européens ont présenté l’histoire de l’Union Européenne et ont échangé avec les jeunes élus sur la citoyenneté européenne. La délégation a ensuite visité le parlement européen.
Enzo a ensuite partagé une information concernant la prochaine rencontre du CpeG (7 février). L’ordre du jour portera sur les actualités en matière d’égalité F/H, sur les suites à donner à la rencontre régionale « Orientation : les jeunes filles et garçons n’ont toujours pas les mêmes parcours ! Qu’est ce qui bloque ? – Ils et elles témoignent… ». Enfin, il sera également question d’échanger sur les modalités de l’élaboration du futur rapport annuel Égalité femmes·hommes de la collectivité. Enzo a précisé qu’un échange sera organisé avec une délégation de femmes venues de Pologne. Plusieurs membres de la commission égalité sont intéressés pour y participer : Kenzo, Chloé, Tifenn, Ella, Jules, Margot Romane et Paul.
Après cette première partie, les jeunes se sont divisés en trois groupes de travail portant sur les sujets développés par la commission.
- Le groupe éducation au genre et à la sexualité a travaillé sur le jeu de société en prenant en compte les retours du Planning Familial proposés lors de la journée complémentaire.
- Le groupe lutte contre les discriminations a validé l’organisation du Live, arrêté le nom du Live (EGA’LIVE) et continué à travailler les contenus.
- Le groupe égalité des chances a commencé à exploiter les résultats du sondage (1 179 réponses) dans l’optique de créer un podcast.
Climat
14 élu.es présent.es
Le début de la matinée a permis un temps de mise en commun. En effet, chaque sous-groupe avançant en dehors des sessions, notamment les sous-groupes littoral et alimentation, dans le cadre de Nos Futurs, c’était important de recréer un collectif autour de la commission climat.
Yannis du sous-groupe inégalités face au changement climatique était le seul présent. Il a travaillé sur un plaidoyer spécifique à son lycée Chateaubriant en lien avec la suppression potentielle de deux classes préparatoire BCPST. Il a souhaité écrire un plaidoyer adressé au Président de région sur la thématique de l’accès aux femmes et des personnes issues de la ruralité à l’enseignement supérieur. Il a également évoqué les problèmes de privatisation et de centralisation de l’enseignement supérieur, la suppression des classes préparatoires BCPST concentrant l’ensemble de ces problématiques. Il est en lien avec les professeurs de son lycée et souhaite peut-être prévoir un rendez-vous avec Le président.
Alimentation :
Le sous-groupe alimentation a travaillé sur différents points :
– Mobilisation du jury particulièrement Loïg Chesnais Girard, Carole Le Bechec et Gaby Cadiou
– Relance et mobilisation des lycées en passant par la communication de la région et du CRJ
– Conception d’une affiche avec la commission communication pour la mobilisation pour le hackathon
Fast Fashion
Pour donner suite aux demandes de Jade de Nos futurs, le sous-groupe a travaillé à la construction du déroulé de la journée ainsi que sur les demandes logistiques. Ils ont également fait un plan de l’espace à aménager aux champs libres.
Ils ont relancé les lycées partenaires afin de préciser leurs demandes. Les lycées doivent amener des vêtements pour alimenter le magasin gratuit, participer au débat de l’après-midi et présenter leurs projets.
Littoral
Les jeunes ont réalisé l’écriture du podcast, ils ont extrait le son de la vidéo réalisée sur le barrage de la rance et ils ont timé la vidéo afin de dégager les moments importants de l’enregistrement pour faciliter le travail lors de la prochaine session.
Ils ont réalisé le montage des micros-trottoirs enregistrés lors de la session de Brest.
Culture
17 jeunes élu.es ont participé à la matinée de la session.
Les 12 membres du groupe de travail sur l’accès à la Culture ont rencontré Naufalle Al Wahab, chef de projet numérique pour l’association Bug. Cette rencontre a consisté en un atelier de cadrage à la réalisation du prototype de leur dispositif Breizh’Pass, une cartographie interactive des offres culturelles recensées et plébiscitées par les jeunes bretons. Durant cet atelier, Naufalle et les membres du groupe ont précisé des dimensions techniques de leur cahier des charges.
Parallèlement, 5 membres du groupe de travail sur le Patrimoine ont organisé le tournage d’une vidéo de promotion de leur dispositif Breizh’Imoine, une carte de fidelité destinée aux jeunes pour découvrir le Patrimoine de sa région.
Ensuite, ils ont rencontré Marie, chargée de mission à l’inventaire du Patrimoine de Bretagne au Conseil Régional, pour échanger sur la plate-forme numérique Glad.
13h30-14h : Plénière
Aymeric de la commission climat propose aux élus de ramener des vêtements lors de la prochaine session afin de contribuer à la friperie qui sera installée à Nos Futurs.
Charlotte Guéganic est salariée à la Région et organise le Congrès de l’ANACEJ. Ce 14ème congrès va être un moment de convivialité et de rencontre. C’est la première fois qu’une Région accueille cette organisation. Il y aura mille participants : jeunes, élus et professionnels.
Charlotte présente la vidéo réalisée à la suite du 13ème congrès. La Région souhaite mobiliser des élus de l’actuel mandat du CRJ pour participer à la programmation et être bénévole du Congrès, organiser la soirée rétrospective des 20 ans du CRJ qui aura lieu le même week-end et/ou accueillir des jeunes gallois présents pour le congrès.
Pour vous inscrire, vous pouvez contacter Charlotte à l’adresse charlotte.gueganic@region.bzh
14h-16h30 : Commissions
Santé
Le groupe vidéo a travaillé sur chacune des vidéos, validé le calendrier des réalisations, confirmé le format et les informations transmises. Une réunion en visioconférence doit être organisée avec tous les participants du groupe. Les personnes interviewées dans les vidéos 2 et 3 doivent être confirmées.
Le groupe numérique a travaillé sur la restitution de leur démarche en rédigeant un bilan intermédiaire, en imaginant une méthode de communication sous forme de podcast. De plus, le groupe a commencé à préparer leurs interventions de février et mars, et a rédigé une proposition de présentation pour leurs interventions à venir.
Le groupe bien-être a travaillé sur la réalisation d’un document de présentation du dispositif semaine des projets, rédigé un mail à destination des lycées pour communiquer sur la démarche, et a commencé à imaginer une méthode de restitution, prévue probablement en avril. Cela inclut l’invitation du personnel éducatif intervenant dans les lycées et du personnel d’établissements.
Le groupe plaidoyer a validé une liste de parlementaires à inviter, retravaillé le message qui leur sera destiné, et travaillé sur le format du plaidoyer.
Égalité
L’après-midi était dédiée à la suite du travail commencé le matin.
Le groupe éducation au genre et à la sexualité a terminé la création et la configuration du jeu.
- Pour les cartes : 144 cartes à imprimer (recto/verso). Dimensions : 6,2cm (largeur) et 8,8 cm (hauteur/longueur). Matière : Papier à noyau bleu
- Pour le plateau de jeu : 1 plateau imprimé sur du carton renforcé (épaisseur 1,9 mm). Dimensions : 40cm x 40cm.
L’ensemble des éléments est disponible en PDF dans le drive. Les jeunes ont ensuite terminé le texte de communication pour l’inauguration du jeu dans le cadre de Nos Futurs.
Le groupe égalité des chances a terminé le schéma narratif du podcast sur l’orientation.
Ce groupe de travail souhaite être accompagné à la réalisation du podcast. Nous proposons de rencontrer Alexane Gauduel de Presses Pirates. Elle est podcasteuse et travail pour Longueur d’ondes (Festival de la radio et de l’écoute).
Le groupe lutte contre les discriminations a terminé le texte de communication « Nos Futurs ». Les jeunes ont ensuite travaillé les contenus en lien avec l’organisation du Live arrêtée le matin.
Déroulé du live 45 minutes (à 17h30) – EGALIVE
Introduction (10 minutes) – Présentation (bonjour) et présentation du déroulé – Présentation du CRJ + commission égalité 3 minutes – Genèse groupe lutte contre le discriminations 3 minutes – Présentation des intervenants 4 minutes – Intro du sujet (5 minutes) :
Se baser sur l’affiche (chiffre des féminicides / https://www.noustoutes.org/manif-feministe-2023/ ) et réactions de la part des intervenant.e.s.
Discussion (40 minutes)
Questions / réponses : – Définition Sexisme + “Des comportements sexistes en politique” (Témoignage de Fanny Chappé) 10 minutes – La manière dont la parole des victimes est prise en compte” (Actualité cf. Gérard Depardieu et lien avec les éléments précédents) 10 minutes – Qu’est ce qui peut être mis en place ? 10 minutes
La parole au chat et à la salle (10 minutes) – Les modérateurs compilent les questions les plus pertinentes du chat et les posent aux intervenantes
Conclusion (5 minutes) – Conclure sur la nécessité de l’intervention sur ces sujets – Ouverture sur l’intersectionnalité (racisme / validisme) – Évoquer les lives perso
Répartition des rôles :
Animateurs (2) : Licia et Lancelot Chroniqueurs (3) : – Affiche Robin et Jules – Témoignages F.Chappé Kenzo – Affaire Depardieu Chloé et Zaïwenn + Mélanie à distance – Régisseur / Maître du temps (1) : Evan Modérateurs (3) : Esteban, Technicien ? : Commission communication ? |
Le groupe a également échangé avec Charlotte de la commission communication concernant l’affiche de mobilisation sur Instagram. Ils espèrent avoir la version finale pour la session de février.
Climat
Alimentation
– Demande d’autorisation pour le budget, notamment l’aspect frais de déplacements pour une trentaine de participants, les frais d’hébergement n’étant pas pris en charge
– Travail sur les prix pour les lauréats du hackathon en lien avec We demain, un magasine du monde à destination des jeunes, Nous anti-gaspi pour un panier garni et avec Sea Sheperd pour un jeu de société
– Recherche d’intervenants pour accompagner les participant.es lors des deux jours, notamment des universitaires
– Travail sur la bibliographie afin de donner des supports aux participant.es sur la thématique de l’alimentation
Fast Fashion
L’après-midi, ils ont mis au propre le travail du matin et ont envoyé les détails techniques (espace et déroulé) à Jade. Ils ont travaillé sur l’animation de l’après-midi : travail sur un questionnaire sur la fast fashion et ses impacts sur l’environnement, travail sur les outils d’animation pour amener les lycées partenaires à présenter leurs projets, travail sur les thématiques à traiter des débats et sur la forme de ces débats. Toute cette partie animation ainsi que le travail sur la signalétique sera à préciser lors de la session de février.
Littoral
Les jeunes ont pu être formés à l’utilisation du logiciel Reaper.
L’edulab n’étant pas disponible lors de cette session ils s’y rendront au mois de février afin de travailler sur l’habillage du podcast et d’améliorer le montage du podcast.
Ils souhaitent sortir ces deux podcasts au mois d’avril et s’en tenir à ces deux documents pour leur mandat. L’idée est de transmettre ces podcast « Esprit Climat » au mandat suivant pour qu’ils s’en emparent potentiellement sur une autre thématique.
Culture
20 jeunes élu.es ont participé à l’après-midi de la session.
Les 12 membres du groupe de travail sur l’accès à la Culture ont poursuivi leurs échanges avec Naufalle Al Wahab au sujet du prototype de leur dispositif Breizh’Pass. Ensuite, le groupe a préparé sa participation à Nos Futurs : production du texte de communication, création d’un speech pour présenter leur projet et réalisation d’un sondage pour récolter l’avis des publics.
Les 8 membres du groupe de travail sur le Patrimoine ont échangé avec Estelle Bréhéret sur une vidéo promotionnelle du Patrimoine littoral de Bretagne.
Ensuite, 6 membres accompagnés de 2 élu.es de la Com Com et de Maryam ont réalisé une partie du tournage de leur vidéo de promotion du dispositif Breizh’Imoine au Lycée Zola et aux Musées des Beaux-Arts.
Pendant ce temps, Ilana et Bastien ont été accompagnés par Estelle à la création d’un quiz sur le Patrimoine en guise de dispositif de sensibilisation des Lycéens.
Enfin, avec l’ensemble du GT Patrimoine, nous avons fait un point sur l’organisation de l’expérimentation de la carte Breizh’Imoine dans les Lycées de Montauban de Bretagne et de Vannes.